MARIO CANONGE piano
MICHEL ZENINO cbasse
Réservation possible sur le site jusqu'à 2h avant le début du concert
N’hésitez pas à nous appeler au 01.42.33.37.71
Depuis plus de 19 ans, le pianiste martiniquais Mario Canonge et le contrebassiste marseillais Michel Zenino régalent, chaque mercredi, les amateurs de swing authentique en se produisant sur la scène du club de jazz parisien, le Baiser Salé. Leur complicité hebdomadaire est devenue un rendez-vous incontournable.
Une rencontre entre deux personnalités du jazz et musiques soeurs.
Qu'est-ce qu'un duo piano-contrebasse en jazz ? La première réponse, c'est celle que donne Mario Canonge : "D'abord, c'est une sorte de mise à l'écart de la batterie, sans refus. Il nous arrive de jouer avec des batteurs formidables, Tony Rabeson, Simon Goubert, Keith Copeland, Arnaud Dolmen, mais en duo, plus rien ne pardonne. Le batteur rend toute chose facile. C'est rassurant, commode, alors qu'en duo il faut être attentif à tout instant. On ne peut pas se relâcher, et d'ailleurs, au bout d'une heu1212re et demie de dialogue, on est presque contents d'arrêter. L'exercice demande une vraie concentration. Il ne permet aucune faiblesse sur les harmonies, sinon le discours s'épuise de lui-même."
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For over 19 years, Martinique pianist Mario Canonge and Marseille double bassist Michel Zenino have been delighting fans of authentic swing every Wednesday by performing on the stage of the Parisian jazz club, the Baiser Salé. Their weekly complicity has become an unmissable event
A meeting between two jazz personalities and sister musics.
What is a piano-double bass duo in jazz? The first answer is the one given by Mario Canonge: "First of all, it's a kind of sidelining of the drums, without refusal. We sometimes play with great drummers, Tony Rabeson, Simon Goubert, Keith Copeland, Arnaud Dolmen, but in a duo, nothing is forgiven. The drummer makes everything easy. It's reassuring, convenient, whereas in a duo you have to be attentive at all times. You can't relax, and besides, after an hour and a half of dialogue, you're almost happy to stop. The exercise requires real concentration. It doesn't allow any weakness in the harmonies, otherwise the discourse exhausts itself."
