Le juge et la drôle de morale
L’habit ne fait pas le moine. Ou mieux encore, être homme de loi ne fait pas de vous forcément un homme honnête même quand vous vous appelez Monsieur Ehrlich.
La démonstration nous est faite par le juge Ehrlich dès le premier dialogue avec son copain, Emile, le professeur. Les deux compères, passablement éméchés après une soirée torride et arrosée dans leur night-club préféré, se mettent à manipuler des armes et ... Emile est apparemment atteint d’une balle et s’effondre sur le canapé.
Pris de panique, le juge décide de faire disparaître le corps... La machine s’emballe, le magistrat voit des témoins gênants partout... et il décide de les éliminer. Une entreprise plutôt périlleuse qui donne lieu à des scènes hilarantes et fort mouvementées.
En parallèle de ce pseudo-drame se noue une folle histoire d’amour entre Julie, la fille du juge, et Arthur, un jeune diplomate encore en plein apprentissage des techniques de séduction. Un méli-mélo sans nom avec des situations rocambolesques et des moments de tendresse et de poésie.
Un véritable spectacle ! Avec Alleluia, heit isch Oschtere, Raymond Weissenburger a écrit une de ses pièces cultes.
EN PREMIERE PARTIE
DE GEJE LISCHT
Il n’y a de pire sentiment pour un élu que de se croire intouchable, inattaquable ! Dans ce petit village paisible du Bitscherland, les élections municipales apportent un peu de piment dans la vie des administrés. Rumeurs, entourloupes et autre trahison mettent ce petit village en émoi. La seule personne ne voyant rien venir étant le maire sortant !
Un nouveau parti se nommant « En Mache » émerge de nulle part et sème le doute dans les rangs de l’équipe sortante !
Qui se cache derrière cette rébellion ?? Mystère et boule de gomme !