Programme créé en 2020 à la Sainte-Baume inspiré de la légende de Marie-Madeleine "élevée sept fois par jour de la grotte au sommet de la montagne pour prier et rejoindre son bien-aimé".
La pièce musicale alterne et mixe les six Préludes des célèbres Suites de J.S. Bach pour violoncelle seul avec des improvisations jouées dans l’instant par le musicien virtuose. Dès lors naît un septième Prélude comme un couronnement final. Le public vit un moment d’exception et de grâce.
Ensemble de six oeuvres en six mouvements, les Suites pour violoncelle seul sont aujourd'hui considérées comme des classiques incontournables du répertoire du violoncelle moderne.
Violoncelliste né en 1972 au Vietnam, Éric-Maria Couturier obtient les plus hautes distinctions durant ses études au conservatoire supérieur de Paris, dans la classe de Roland Pidoux.
Artiste éclectique et versatile, passionné par tous les styles de musiques, Éric-Maria Couturier joue sur les grandes scènes internationales avec l’Ensemble intercontemporain, en solo ou en musique de chambre avec le trio Talweg, Mauricio Pollini, Martha Argerich et Juliana Steinbach.
Il a collaboré avec des personnalités comme Boulez, Sawallisch, Solti, Giulini, Kurtag, Eötvös, Mälkki, Nott, Rundel, Deroyer.
Il a joué les concertos pour violoncelle de Haydn, Dvořák, Eötvös, Merlin, Fujikura, Saraariaho, Kurtág.
Passionné par la pédagogie, il enseigne au conservatoires supérieurs de Paris et de Lyon.
À ce titre, il est régulièrement invité à donner des masterclasses et ateliers sur la musique classique et contemporaine en France, Russie, Corée, Japon, Chine.
Infos pratiques : il est conseillé de se garer au grand parking (parking de la mairie) sur la droite en arrivant au centre du village. Puis prendre le passage escalier en face de l'entrée/sortie du parking, et monter jusqu'à la rue du temple, le temple se trouve sur la droite.
Suite au concert, le public est convié à un verre de l'amitié pour prolonger la rencontre avec le musicien.
Le temple n'étant pas chauffé, il est conseillé de bien se couvrir.
Crédits photo : Amandine Lauriol