NAÏF Production
En partenariat avec les Hivernales - Centre de Développement Chorégraphique National
Coproduction
Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-Seine, MC93 de Bobigny, Espace Périphérique, mairie de Paris-Parc de la Villette, le Centquatre – Paris.
Avec le soutien de l’Agora, cité internationale de la danse de Montepllier et du CDC les Hivernales à Avignon.
La création bénéficie du soutien de la DRAC PACA, de la Région PACA, du conseil départemental du Val de Marne et de la SPEDIDAM.
Spectacle présenté en partenariat avec la Maison de la Danse
Chorégraphie, mise en scène et interprétation Sylvain Bouillet, Mathieu Desseigne, Lucien Reynès
Dramaturgie Sara Vanderieck
Création sonore Christophe Ruetsch
Création lumière Pauline Guyonnet
Costumes Natacha Costechareire
Tenues identiques, jeans, sweats à capuche, visages masqués, ils sont si ressemblants que le trouble naît immédiatement face à ce trio qui offre comme seuls points de repères identifiables leurs mains et leurs pieds dénudés.
Entre danse et acrobatie, comme des pantins désarticulés ils se tendent, se tordent, s’élèvent, tombent et se relèvent avant de se retrouver. Dans le clair-obscur du plateau se construit un itinéraire savamment organisé, jouant tout à la fois sur la vulnérabilité et sur la force de ces corps qui tentent de trouver leur équilibre.
La chorégraphie collective célèbre la force de la fraternité qui unit ces artistes, se soutenant, s’entraidant pour être momentanément d’aplomb, comme une petite humanité qui balbutie et qui sonde les frontières de son existence.
PRESSE
« Un trio virtuose et formidablement expressif se noue et se dénoue, entre danse et acrobatie. Éblouissant ! » La Croix
« La Mécanique des Ombres est une pièce d’une rare intelligence tant la chorégraphie, la mise en scène et la musique s’imbriquent avec beaucoup de justesse pour répondre à cette quête d’identité. Au-delà de son esthétique plastique, la figure « vide » absorbe et dérange tout autant que chacun peut y projeter l’émotion qu’il veut et en ressort indéniablement secoué.» Le bruit du Off