Le JOUEUR D'ECHECS (1360 ème )
de Stefan Zweig
Théâtre Carpe Diem (Argenteuil)
Magistrale allégorie de l’égarement. LE MONDE
D’une élégante sobriété, André Salzet laisse s’exprimer toute l’intensité du texte de Zweig. TÉLÉRAMA
Un texte superbe admirablement servi. LE POINT
Merveilleux récit joué avec beaucoup de bonheur. André Salzet est étonnant. Un vrai régal ! FIGAROSCOPE
Un « Joueur d’échecs » tout à fait marquant. Un spectacle à ne manquer sous aucun prétexte. LE PARISIEN
Un champion d’échecs inculte mais imbattable, un homme discret, mystérieusement doué aux échecs. La rencontre entre ces deux personnages pourrait servir « d’illustration à la charmante et grandiose époque où nous vivons... »
La force du Joueur d'Echecs réside d'emblée dans les portraits que Stefan Zweig a su brosser de personnages emblématiques, voire allégoriques.
Et la place que Zweig lui-même, auteur et narrateur, occupe au sein de la nouvelle, permet l'élaboration d'un récit en abîme où les interférences entre jeu d'échecs, jeu d'écriture et jeu de manipulation du lecteur donnent à l’œuvre puissance et suspense.
Mais ce suspense revêt un caractère exceptionnellement grave quand on resitue Le Joueur d'Echecs dans l'histoire. C'est cette gravité et sans doute l'urgence des temps actuels qui montrent, aujourd'hui plus encore, la validité, l'opportunité et la pertinence du propos de Zweig.
Adaptation et interprétation : André Salzet
mise en scène : Yves Kerboul
régie lumières : Ydir Acef
photos : Michel Paret
avec le soutien de la Ville d’Argenteuil et du Conseil départemental du Val d’Oise
Durée :