La production musicale mais aussi les textes, leur résonance littéraire et la variété des thèmes abordés (déterminisme urbain, amours finissantes ou crise environnementale) sont régulièrement salués par la critique (Rock & Folk, La Voix du Nord, Le Progrès…).
Après les résidences artistiques en live la formule sur scène est là : chant-lapsteel (Lionel Giardina), guitare acoustique-chant (Christophe Roche), basse (Léonard sandre), drums-prog (Paul relave). Dès les premières dates, le quatuor Lion Says s’élance fiévreusement et embarque le public pour un voyage émotionnel à contre-courant.
Le groupe s’est déjà produit dans divers salles parisiennes prestigieuses comme le Bus Palladium, le Supersonic, la Dame de Canton, la Bellevilloise ainsi qu’en province et à l’étranger (Suisse, Angleterre, Belgique…). Après avoir sorti un quatrième album, Some Kinds of Ghosts (sur More Than Folk Records), Opium Dream Estate sort consécutivement un nouvel EP (Dark Shines) et un single avant de travailler sur le 5e album, Pilgrimage.
Mises en valeur par une ligne de guitare folk impétueuse rehaussée d’un peu de reverb, les chansons de Léa Jacta Est, hantées par le gothique américain, nous entraînent sur des rives crépusculaires. Nimbés d’un climat de menace étrange où la mort et le secret planent, ces récits allégoriques d’amours désabusées déploient avec grâce et langueur leur noirceur toute romanesque doublée d’une sensualité grisante.
Une épopée intime qui baigne l’auditeur dans une atmosphère hypnotique où se côtoient tour à tour les ombres de David Lynch, Nick Cave et Katie-Jane Garside.