Après la lecture de la nouvelle de Franz Kafka “Un rapport pour une académie”, Maïra crie “Eurêka!”, il s’agissait bien de cela: elle était vue comme une singe en Europe. Elle décide d’étudier la rupture entre culture et nature dans l'épistémologie occidentale hégémonique et en s’assumant singe écrit une narrative mêlant récits personnels vécus et pensées décoloniales.
Ce projet se nourrit de savoirs et des pratiques ancestrales, c’est une recherche-création pluridisciplinaire : performance-conférence, vidéos, dramaturgique vivante, pratiques arboricoles, entre autres.