Madam, le trio de rockeuses toulousaines, propose un rock sans filtre armé de riffs et d’un chant puissant, un concentré d’électricité et d’énergie brute.
Après plus de 110 dates en 1 an 1/2 dont Motocultor, Garorock, XTrem Fest, Art Sonic, Pause Guitare, etc... Madam a sorti un premier album au printemps 2024 et enchainé plus de 50 dates.
« Au départ il n’y avait rien. On ne se connaissait pas, on s’est rencontrées pour monter le groupe. Pas de nom, pas de compos. On s’est enfermées dans des studios et on y a écrit nos premiers morceaux, ensemble. C’est un processus qu’on n’a jamais lâché́ depuis. On a fait des concerts aussi vite qu’on a pu, parce que faire des concerts c’est ce qu’on aime. Y avait personne, puis au fur et à mesure y avait un peu moins personne. On est encore intriguées de voir notre nom grossir sur les programmations.
D’entendre les gens chanter des paroles que nous même on oublie parfois. Faire la musique qui nous plait, avec les personnes qu’on aime, et arriver à partager ça avec des gens qui la comprennent, c’est étrange comme sensation. C’est enivrant. On vibre pour ces moments là.
Puis le silence. Arrêter les concerts pendant de longs mois pour préparer la suite.
Enfin, l’arrivée de cet album, le retour des concerts. Recommencer à tout donner. Jusqu’à en perdre le souffle. L’équilibre. La raison. Crier. Danser. Rire et pleurer. Voir les gens en faire autant. Après des mois de silence, fêter le retour du bruit. Thanks for the Noise. »
Mené par Sarah et ses cris de rage revendicateurs, Underground Therapy prescrit son néo-rock en guise d'anxiolytique.
A force de poncer Deftones, Lofofora et Idles, les 4 “engRagés” revendiquent très haut et très fort l’émancipation et la catharsis.
Après une année 2023 sur la route et des passages sur scène remarqués dans la X-Cage de l'Xtreme Fest ou en première partie de Mudweiser, des Wampas, de Pogo Car Crash Control ou encore de Krav Boca ; ils sont revenus en 2024 avec leur premier long format "Burning Tales", véritable thérapie qui redonne foi en ce rock à guitares qui soigne tous les maux.
Paddang amorce une nouvelle mutation avec “Lost in Lizardland”, un deuxième album écrit comme un Road movie SF post-apocalyptique.
Osees et King Crimson à fond dans lʼautoradio, le trio toulousain file à toute berzingue dans une épopée cosmique aux airs de prophétie herbertienne.
Loin de se cacher derrière un mur de fuzz ou une montagne de reverb, les trois voix dictent le ton et invoquent un besoin urgent d’agir face à un monde au bord du chaos.
Fort de deux années passées à sillonner les clubs et les festivals, Paddang bouillonne à l’idée de replonger dans la fournaise du live pour partager sa fièvre primitive avec le public.