Marie Madeleine, duo électro fondé par Diana Kill et Alfred Moon, s’impose avec une Disco Wave sensuelle et sombre, portée par le succès viral de Swimming Pool. Avec plus de 63 millions de streams et une tournée internationale, le groupe mêle noirceur, extase et féminité dans des titres produits sur leur label Supermusique. Après une tournée américaine au printemps 2024, ils repartent en concert et préparent de nouveaux morceaux en studio.

 

BÖ.SENBERG, anciennement César Palace, est le projet solo du batteur Vincent Redel, mêlant techno, ambient et expérimental dans des performances physiques et intenses. Son album live Ta pureté bien que démentielle ne sera jamais altérée, enregistré presque d’une traite après 150 concerts, marque un tournant radical. Il abandonne son ancien alias suite à des menaces juridiques, affirmant ainsi pleinement sa nouvelle identité artistique. Mixé par Guillaume Brot, enregistré par Anthony Laguerre, pressé chez Monotype Pressing, le disque vient de sortir chez October Tone / Industrie Musicale — et sera célébré le 2 mai, en sueur et en frénésie, sur scène au Karmen Camina.

 

D’apparence froide et ténébreuse, Diana n’a qu’un seul but, vous faire danser. De la Disco à la Techno en passant par le R’n’B on ne sait jamais où elle va nous faire voyager. Main de fer dans un gant de velours, vous serez hypnotisées et vous laisserez aller sur ses beats sensuels jusqu’au bout de la nuit.

Cool Cool Diana Kill

 

Matériaux industriels et de récupération, instruments maison, technologies obsolètes, détournement de leur usage pré-conçu, Kotekask tricote une musique intimiste à écouter autant qu’à observer de près. Au cœur de cette industrie à taille humaine : le geste, la connexion à l’autre et les mains à l’ouvrage.
Dans leur inventaire de matières premières : la musique minimaliste, le gamelan balinais, l’électronique ambient, quatre mains, deux marteaux de bois et de velours.

 

DJ Ugene, comme l’appellent ses ami·es, évolue entre deep house groovy et techno à quatre temps. Ses sets sont à la fois accrocheurs et mystérieux, portés par des lignes de synthé subtiles et un univers sonore riche et hypnotique. Son style intense reste toujours épuré, sans surcharge. Après plusieurs années passées aux Pays-Bas, où il a joué dans des clubs comme l’OT301 (Amsterdam) et le WORM (Rotterdam) pendant ses études d’art, Ugene vit et travaille désormais à Sarrebruck. Il y dirige Arrival Room, un espace artistique dédié aux créateur·ices du monde entier. Il a reçu plusieurs prix pour ses projets artistiques.