La quête de liberté au sein de la société est l’interrogation centrale de la pièce. Comment parvenir à cette liberté et quelles en sont les limites ? Comment préserver et affirmer ses différences au sein d’un groupe, et quel en est le prix? Je souhaite, à travers le mouvement dansé, explorer la quête identitaire. Les danseuses interagissent entre elles sans artifice, dans un décor brut. Jalousie, cruauté, violence, indifférence s’installent petit à petit. Le choix de la danse électro participe activement à cette violence montrée.
— Jeudi 13 mars, 18h30, accès libre sur réservation, CCN / Le Garage