Cette pièce met en avant la parole comme principe vital et source d'identité, illustrant l'importance de la communication dans notre société moderne. Elle donne une existence « monstrueuse » à ceux qui pensent et qui parlent comme ils respirent, parce qu’ils ne peuvent pas faire autrement. Mais qu’est-ce qui peut se lire dans les corps quand la nécessité de parler et de penser occupe tout l’espace de la conscience ?
Ces corps n’échapperont pas aux ridicules. Corps empêchés, corps abîmés, corps qui se cognent...