Tandis que la Sea Symphony de Vaughan Williams, œuvre fleuve sur les paroles d’un poème de Walt Whitman, célèbre l’universalité de la mer, étendue homogène qui unit les nations, Les Éolides, pièce symphonique de César Franck inspirée d’un poème de Leconte de Lisle, évoque le vent qui souvent se joue d’elle. La nature transcende chacune de ces œuvres interprétées par le COSU pour célébrer la récente création de l’Institut de l’Océan au sein de l’Alliance Sorbonne Université.
César Franck Les Éolides
Ralph Vaughan Williams Symphonie n°1 « A Sea Symphony »