20h Première Partie - Atelier de l'IMFP

Restauration possible 

21h Virginie Teychené
Après cinq années de tournées en duo avec Gérard Maurin, Virginie Teychené revient en 2025 à la formule de prédilection des chanteuses de jazz :  le quartet. 
La même magie opère toujours sur scène; le plaisir de jouer ensemble se ressent, se voit, la complicité des musiciens, amis de longue date sert la musique sans cesse renouvelée puisque en grande partie improvisée. Nous décidons toujours du programme au dernier moment. Du jazz comme on l’aime.
La tradition de l’art vocal noir américain comme le Blues et le Gospel inspire le programme d’où le nom du concert « Born to be Blue » 
Body And Soul / Don't Explain / "Rat Race"@Jazz_in_Marciac

« Comme toutes les vraies chanteuses de jazz, Virginie Teychené s’avère avant tout musicienne. Scat d’une fluidité parfaite, prise de risque dans des impros sans clichés, timbre subtilement voilé, elle ne joue pas à la chanteuse de jazz, elle est simplement et superbement jazzwoman.» Alex Dutilh, France Musique
« Elle swingue avec un bonheur communicatif, improvise avec une musicalité rare.» Franck Bergerot, Jazz Magazine
« Souplesse vocale, excellente élocution, impeccable mise en place et délicieuse fraîcheur de la voix : une personnalité au charme contagieux. » Classica
« Bonne nouvelle, le jazz français a trouvé sa perle. (...) Une grande dame du jazz » Femina, juillet 2013
« On succombe et on en réclame... Encore. » Les Inrocks - Louis-Julien Nicolaou
« On savait déjà que son approche du chant était comparable à celle d’un instrumentiste tant elle est musicienne et on connaissait ses immenses qualités d’interprètes parmi lesquelles le velouté de sa voix claire et une technique irréprochable dont elle ne fait jamais étalage ne sont pas les moindres. Face à la tentation de la performance, c’est surtout le privilège permanent qu’elle accorde à la nuance, aux inflexions subtiles, aux décalages insensibles qui en fait une grande chanteuse de jazz, loin de toute esbroufe et de tout maniérisme ». Philippe Vincent, Jazz Magazine/Jazz Man