Ne pas se fier à l’intitulé : Mollo, le premier album de Wax, ne laisse pas raplapla, il serait même plutôt du genre tonifiant. Difficile de ne pas penser d’abord à un jazz-funk subissant la doble influence de Weather Report et du Miles David des années 80.
Mais le son est actualisé, les emprunts plus variés qu’il n’y paraît et, surtout, l’énergie du quintet phocéen-parisien empreinte d’humours, d’optimisme et de camaraderie.